A cause des cannes de promenade de Henry James dans l' entrée de Lamb House
Catherine SERMET a choisi cette pièce de théâtre " la bête dans la jungle"
A cause d'une conversation d' Henry James et Joseph Conrad, projet de cette pièce, adaptation de Marguerite Duras, qui traite de la question entre autres, du double.
" Un héros de sa propre vie "
une longue conversation retranscrite admirablement par Marguerite Duras entre Catherine Bertram et John Marcher
La scène, partagée en deux par un mur courbe qui reviendrait sur lui-même, de telle façon que les gens apparaissent et disparaissent comme dans une sorte de labyrinthe
A partir de ce concept, proposition de Thierry Mathelin pour la bête dans la jungle,
dans ses décors il traite des salons, des boudoirs, des lieux ou s' asseoir, ou parler, il crée l' ambiance d'un château anglais, avec des meubles sombres, des lustres, des boiseries,
il a choisi comme option de traiter tout en rouge (en référence à son Maitre Visconti) et une nuance verte pour évoquer la verdure qui existe tout autour du château
proposition: pour la pièce de réception
proposition: pour le boudoir de Catherine Archer
proposition: pour " détails " du boudoir
proposition: la question du miroir dans lequel se reflétera la bête
La bête sortira brusquement du miroir comme le train sort de la cheminée dans un tableau de Magritte car le choix du metteur en scène Catherine SERMET et du scénographe Thierry Mathelin est de ne traiter que de l' intérieur du château, métaphore de cette conversation entre Catherine Archer et John Bertram
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